Test de l'Eden 3
Test de... euh... Musée de l'Atlas

Retour sur mon site rapelapente.

Voilà le plan de suspentage en taille M (merci Airex)

Les couleurs :

Celle du milieu est la mienne! Il y en a eu aussi des blanches et bleues, des jaunes et violettes... envoyez moi vos photos avant qu'il n'en reste plus rien...

Certains coloris moins classiques comme le rose, ont eu comme un problème!

Chez Para2000.

Test DHV en français

Test Vol libre commenté
Test Vuelo libre traduit
Livre "From beginner to cross country"

merci Fred Rochet pout tous ces tests!

Edel Atlas still alive !

Performances réalisées avec icelle

Etiquettes de la voile :


Normalement on ne peut pas voler au moteur avec... cliquez sur les étiquettes!

Manuel de vol

Révision chez volem

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Test Vol libre

en fait j'ai eu un sac edel "Wings of Change"...

En effet les décollages montagne sont une formalité, quoiqu'vec la porosité un point dur est franchement sensible à 45°. Il faut la bourrer, et, en paramoteur, elle peut en profiter pour faire la girouette...
En thermiques et en bas de forchette, les bouts d'aile on tendance à fermer. Encore la porosité ou c'est le pilote?

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Test Vuelo libre qui apparement s'est repaptisée "parapente"

L'objectif de Gin Seok et de M. Chu était de réussir une structure utilisée aujourd'hui aussi bien en école que pour les débutants, comme l'a été la "Space". Avec l'Atlas, ils ont réussi une aile facile sous tous les aspects. Depuis le gonflage jusqu'à l'emploi de l'accélérateur. Avec un virage facile, direct et tranquille (plus direct depuis que j'ai remplacé l'aramide par du dyneema...), des prestations qui sont dignes de voiles intermédiaires et une stabilité-sécurité enfantines. Certifiée par le DHV et après par l'APCUL, est demeure un peu lente pour rejoindre la catégorie supérieure.

Le design de ce modèle ne suit pas la tendance des nouveaux modèles Edel (Sector y Saber), mais elle n'est pas non plus une évolution du modèle basique Quantum. Elle est complètement nouvelle, crée avec une priorité : la facilité de pilotage.

La forme elliptique, avec les stabilos épais et droits (en cela elle ressemble aux autres). Mais elle n'a pas d'intercaissons, la corde centrale est très large, et très plate (notamment aux extrémités), ce qui facilite la capacité de la voile à ne pas dépasser au gonflage (ni à rester en arrière).

La pression interne suffit pour toutes les aérologies (en turbulences fortes, si la voile est chargée correctement, les stabilos clignotent). Ainsi le pilotage en virage est moins physique qu'avec la Quantum, et quelque peu plus agile qu'avec la Saber.

Il n'y a pas de trucs ou de secrets, l'aile est simple, sans intercaissons, avec un suspentage à trois étages, un profil biconvexe normal, quelque peu moins concave que la Quantum, et un peu plus épaisse aux ouvertures, donnant un extrados plus plat.

Malgré sa "platitude", on n'arrive pas plus tôt au décrochage ni ne favorise le virage en négatif (on parle d'une voile d'initiation ou intermédiaire très facile. Et ces situations sont très éloignées de la marge de manœuvre du pilotage normal).

Les oreilles et les fermetures asymétriques se rouvrent instantanément (les fois où elle ferme). Mais il faut bien ajuster les freins quand on utilise cette voile en école ou en cours de perfectionnement, car si elle n'a pas les 10cm de garde habituels, on peut arriver au virage en négatif dans la large course des freins. Par contre la parchutale ou le décrochage complet ne sont pas possibles sans tours de freins.

Les extrémités décrochent après le centre, ce qui ce constate par une peu d'accordéon sur l'envergure.

En vol lent, elle tangue un peu, et en vol normal, elle demande peu de frein pour les manœuvres et corrections. Elle tend à revenir à son incidence normale (elle est très stable sur les trois axes grâce à son profil).

ACCELERATEUR

En vol rapide, la course de l'accélérateur est limitée par la distance entre les poulies. Comme ils l'ont certifiée d'abord au DHV, et que le test est effectué à toutes les allures, il manque 8cm pour qu'elle entre totalement dans la catégorie DHV1. Bien que le concepteur reconnaisse que l'on puisse l'accélérer beaucoup plus (je le savais...). Nous avons fait un test avec 15cm au lieu des 8 et effectivement la Vmax passe de 38 à 44km/h, sans aucun signe de faiblesse du bord d'attaque. de toute manière, il faut tenir en compte qu'elle n'est pas homologuée avec un autre accélérateur que celui de série (ben voyons, vous ne pouvez pas assumer?). En n'utilisant plus la poulie inférieure on obtient plus de vitesse, mais la course est plus dure et courte. Sinon on peut rajouter une poulie sur le mousqueton inférieur, avec un nœud pour limiter le débattement. Tout ça pour disposer d'une bonne réserve de vitesse, notamment pour les fortes brises de vallée. Bras haut la vitesse détrimée est aussi un peu plus faible que la normale (voir la PowerAtlas).

PESTATIONS

Mains hautes, on est très proche du taux de chute minimal, ce qui fait de l'Atlas une aile très étudiée pour le vol thermique, le frein pilote le virage. Un peu de frein et on obtient le meilleur rendement. En transitions, ou en descendances, on peut utiliser l'accélérateur (pour plonger!). Le bord d'attaque est un peu écrasé mais on ne ressent aucun risque de fermeture.

SECURITE

Il n'y a pas de précautions particulières, les oreilles rouvrent toutes seules (2.5m/s de taux de chute), de même que le retour en bol normal après les B (5/s), avec une très faible abatée. D'ailleurs en quelques situations que ce soit... Elle sort immédiatement de fermetures asymétriques, sans presque tourner.

POUR QUI?

Pour n'importe quel débutant qui préfère une finesse élevée ou un gonflage particulièrement facile. Une aile intermédiaire particulièrement accessible.

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Livre "From beginner to cross country"

Edel aurait financé en partie le livre par la publicité? A voir...

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L'atlas vit toujours en 2006!

Notez qu'en 2006 la Power Atlas est notée new, alors que seulement les couleurs et les trims sont nouveaux. Sur le site du revendeur on peut choisir trims et accélérateur! A pleine charge, le DHV a mesuré 36km/h, ici avec trims 37...

Old model renvoie à... para2000!

et voilà les couleurs :

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Test DHV

Le site du DHV

soit pour ma taille M :

à comparer avec les longueurs théoriques des suspentes.

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Para2000

Vers le site para2000

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Performances réalisées avec une Atlas

En ce qui me concerne : 63km en boucle en vol thermique
99km en soaring à Octeville

Lézautres:

Là aussi "terrific" :

188km en Norvège?

Petit tour du lac d'annecy
Vol de Nico du 31/07/2000 enregistré le 02/08/2000
parcours en boucle en parapente Edel Atlas M
Région en montagne : annecy
Décollage : Forclaz Dépt. : 74
Atterissage : Verthier
Vol de 19 km, Altitude max : 2000 m, Vol de 2 h 18 mn

Météo :
Beau temps. Pas de vent en altitude.

Le récit :
Lundi 31 juillet, vers 16h à la Forclaz, beau temps, pas trop de monde au
décollage : une chance ...
ça thermique un peu mais pas des masses : de nombreuses voiles se promènent
sous le décollage.
Je décolle quand même et prends rapidement à droite dans la combe : ça prend
assez rapidement et une fois 150 m au dessus du décollage je ne cherche pas
plus et pars en direction de la crête des Rochers Roux.
Progressivement ça monte et du coup plusieurs voiles me suivent. Sans arriver à
monter au dessus des Rochers, je continue et decide de traverser vers les
Lanfonnets. ça monte de temps en temps (Bulles...) mais je suis toujours sous
les Lanfonnets...
bof je continue histoire de voir ... et suis une autre voile qui m'a doublé en
direction des gencives (celles des dents de lanfon...)
Arrivé au pied de la première dent je me dis qu'il est peut être temps de
monter un peu mais j'ai du mal car les bulles thermiques ne sont pas
franches ... après un quart d'heure de tentative j'aperçois des voiles à
l'autre bout des dents (qui viennent de planfay) je longe les dents sans perdre
trop d'altitude et ...
miracle je trouve un véritable ascenseur qui me fait d'ailleurs un peu peur au
début : ça brasse un peu lorsqu'on rentre dedans !
En un rien de temps, je suis au dents puis 100 m au dessus. Malgré cette
apparente facilité, nous ne sommes que 4 ou 5 au dessus des dents. Je me
promène et parcours les crêtes en espérant saluer qq randonneurs mais y a pas
grand monde.
Au dessus de la dent sud, je reprends encore de l'altitude. Dommage que je
n'aie pas réussi à régler l'altitude du vario (d'ailleurs si qqn a le mode
d'emploi de l'airtech picollo ça m'arrangerait!). Certaines voiles vont
s'amuser à faire des Touch&Go au col des Frettes pour remonter ensuite.
D'autres retournent vers La Forclaz ...
moi je me décide finalement pour traverser le lac. Je me retourne mais personne
ne me suis...
Evidemment lors de cette traversée ça descend mais déjà je vois arriver les
crêtes au dessus de Duingt. Au début, je me trompe un peu car je vais vers la
crête à gauche de la route d'Entrevernes.
Finalement je me dirige vers la crête du Roc des Boeufs mais je suis bien bas
(600 ou 700m).Je m'accroche et gratte tout contre pour remonter. Je suis
obliger de faire beaucoup d'aller retours et je commence à fatiguer(rando-
parapente le matin au Charvin).
Finalement au bout d'un moment sans être parvenu à atteindre le haut de la
crête, je me décide à prendre la direction de l'attero. J'ai soudain
l'impression que ça va faire un peu juste ... du coup je me décale un peu vers
Doussard et vais me poser tout en finesse dans un champ (finalement à 400 m de
l'attero officiel).

Ce vol (appelé "petit tour du lac") est , je crois, très classique et sûrement
très facile pour certains pilotes.

A côté des 100 kilomètres des autres récits, je me sens un peu ridicule ...
Cependant pour moi c'était une première, de plus tout seul, avec des conditions
pas "extraordinaires" et sans connaître précisément l'itinéraire, je trouve que
je me suis pas trop mal débrouillé !

Panorama extraordinaire sur le mont blanc (depuis les dents de lanfon) sur le
lac et sur la tournette.
Attention à la surpopulation au décollage les WE d'été...

© 1999-2005 le carNet, reproduction du texte soumise à l'accord du pilote et en citant le site le carNet.

123km FAI-Dreieck mit dem Edel Atlas Torsten Hahne

1998 wurde erstmals die Sportklasse in die Wertung der Deutschen Streckenflugmeisterschaft eingeführt. In dieser neuen Wettbewerbsklasse dürfen nur Gleitschirme der Kategorie 1 oder 1-2 für die Streckenflüge verwendet werden. Das übrige Reglement und auch die Anforderungen an die Dokumentation entsprechen denen der offenen Klasse.

Vorrangiges Ziel dieses Schrittes war es das Fliegen mit Gleitschirmen der Klasse 1 und 1-2 populärer zu machen. Das diese Schirmklassen außerordentlich gutmütig in ruppiger Thermik und turbulenten Bedingungen reagieren, und zudem im Thermikkreisen keine gravierenden Nachteile haben, war längst bekannt. Zu beweisen war allerdings noch, daß auch Piloten die über die Umgebung ihres Hausberges hinausfliegen wollen damit ihren Spaß haben können.

Mit mehreren Flügen über die 100-km-Marke hinaus und eindrucksvollen FAI-Dreiecken konnten diese Anfänger- und Schul-Schirme in der Saison &acute98 beweisen, daß nicht nur ein Menge Flugspaß, sondern auch ansprechende Streckenflugleistungen bei einem Maximum an passiver Flugsicherheit zu haben sind. Sicherlich wird so mancher Hobbyflieger als Pilot eines modernen Gleiters der Klasse 1-2 mehr Leistung aus seinem Gerät holen, als als überforderter Passagier eines Hochleisters.

Vielleicht lassen sich einige gestresste Hochleisterpiloten durch den vorgestellten Flug dazu animieren beim nächsten Gerätekauf etwas Leistung gegen mehr Flugsicherheit einzutauschen. Ein kleiner Schritt zurück bringt so manchen wahrscheinlich einen gewqaltigen Sprung nach vorne.

123km FAI-Dreieck avec l'Atlas par Torsten Hahne (traduction par free Systran, avec toutes mes excuses...)

en 1998, la classe sportive a été introduite pour la première fois dans l'évaluation du championnat de vol de distance allemand. Dans cette nouvelle classe de la concurrence, seulement des parapentes de la catégorie 1 ou 1-2 peuvent être utilisés pour les vols de distance. Le reste du règlement et également les exigences en matière de documentation correspondent à ceux de la classe ouverte.

L'objectif prioritaire de cette étape a dû être rendu plus populaire voler avec des parapentes de la classe 1 et 1-2 . Cela ces classes d'écran thermik ruppiger et conditions turbulentes réagissent extraordinairement gutmuetig, et d'ailleurs milieux aucun désavantage sérieux n'a, était depuis longtemps connu. Il fallait prouver toutefois encore qu'également des pilotes veulent avoir pu sur les environs de leur montagne de maison les hinausfliegen leur amusement.

Avec plusieurs vols le plus de 100-km-Marke dehors et des FAI-Dreiecken impressionnants pouvaient prouver ces voiles d'école et de débutant dans la saison à &acute98 qu'il faut avoir non seulement quantité un passeport aérien, mais aussi des vols de distance agréables avec un maximum de la sécurité aérienne passive . Quelque aviateur d'hobby en tant que pilote d'un Gleiters moderne prendra sûrement ainsi plus de performance de son appareil à la classe 1-2, en tant qu'en tant que passager dépassé d'un Hochleisters.

Quelques Hochleisterpiloten gestresste se font peut-être animer performance par le vol présenté avec le prochain achat d'appareil contre plus de sécurité aérienne échanger. Une petite étape apporte de retour si quelques-une probablement un saut gewqaltigen en avant.

Das Fluggebiet:

Die hochalpine Arena der Walliser Alpen bietet auch Anfang August noch sehr gute Streckenflugbedingungen, wenn in anderen Fluggebieten die XC-Saison längst vorbei ist. Die bodennahe Warmluftmasse der kontinentalen Erwärmung ist auch zu dieser Jahreszeit nicht in die Hochgebirgsregion vorgedrungen. Die Luftmasse stabilisiert also nicht so schnell, wie in tiefer gelegenen Gebieten. Zudem sind in dieser Jaheszeit die südseitig ausgerichteten Hänge bis in Höhen von weit über 3000 m MSL schneefrei. Starke Erwärmung und die trockene Luft in diesen Regionen lassen im Hochsommer erreichbare Basishöhen bis deutlich über 4000 m zu.

Zu den "Hundstagen" (der Sirius auch Hundsstern genannt ist deutlich am Nachthimmel zusehen) Anfang August sind dann auch die Startplätze am Kühboden in Fiesch von XC-Fanatikern belagert. Gleitschirme, Drachen, Segelflieger vom nahe gelegenen Flugplatz in Münster und seit neuestem auch Starrflügler müssen sich den Luftraum teilen. In unmittelbarer Nähe der Startplätze kann es dann schon einmal recht eng werden. In dem weitläufigen Gebiet der Walliser Alpen verteilen sich die Massen aber recht bald.

Das Fliegen zwischen den höchsten Gipfeln und den gewaltigsten Gletscherströmen der Alpen übt auf jeden Piloten der einmal hier war eine unglaubliche Faszination aus. Seit 1991 bin auch ich fast jedes Jahr für mindestens eine Woche hierher gekommen um auf Strecke zugehen, zumindestens aber um dutzendweise Filme vor dieser einzigartigen Kulisse zu verschiessen.

Doch wer im Wallis auf Strecke gehen will, muß meteorologisch versiert sein und seinen Gleiter in allen Situationen im Griff haben. Brutale Aufwinde, gewaltige Leerotoren und tückische Talwinde verlangen nach erfahrenen Piloten. Die ansäßigen Flugschulen lassen ihre Schüler an thermischen Tagen nicht ohne Grund nur zwischen 8 und 11 Uhr morgens in die Luft.

Le secteur aérien :

L'arène hochalpine des Walliser Alpes offre aussi début août des conditions de vol de distance encore très bonnes, si dans d'autres secteurs aériens le XC-Saison est depuis longtemps au delà. La masse d'air chaud proche de la surface du réchauffement continental n'a aussi pas pénétré à cette saison dans le hochgebirgsregion élevé. La masse d'air ne stabilise pas ainsi aussi rapidement, que dans des secteurs trouvés plus profondément. En outre, dans ce Jaheszeit, les pentes alignées suedseitig large sur 3000 m MSL sont non couvertes de neige. Le réchauffement fort et l'air sec dans ces régions permettent des hauteurs de base possibles clairement à plus de 4000 m en été élevé.


En plus des "jours de chien", (le Sirius est aussi appelé étoile de chien au ciel de nuit surveille clairement) début août les points de décollage au Kuehboden sont alors également assiégés Fiesch des XC-Fanatikern. Des écrans coulissants, Drachen, aviateurs de voile de l'aérodrome trouvé étroitement dans les cathédrales et depuis peu également les Starrfluegler doivent se diviser l'espace aérien. À proximité directe des points de décollage, il peut alors devenir étroit déjà une fois assez. Dans le secteur éloigné des Walliser des Alpes se répartissent toutefois assez bientôt les masses.

voler entre les sommets les plus élevés et les électricités de glacier les plus énormes des Alpes exerce sur chaque pilote celui était une fois ici une fascination incroyable. Depuis 1991, moi aussi, je suis presque chaque année pour au moins une semaine ici plus de sur la distance arrive venu de mettre le feu dutzendweise au moins toutefois pour à des films devant cette coulisse unique .

Mais celui qui veut aller au Wallis sur la distance, doit être météorologiquement expérimenté et avoir son Gleiter dans toutes les situations dans la prise. Des aufwinde brutaux, des Leerotoren énormes et la grue de vallée malveillante exigent des pilotes expérimentés. Leurs élèves des jours thermiques ne laissent le matin pas les écoles de pilotage domiciliées sans raison entre 8 et 11 heures dans l'air.

Anreise und Geländeinfo:

Fiesch ist im oberen Rhonetal, dem deutschsprachigen Raum des Wallis auf knapp 1100 m Meereshöhe gelegen. Berge bis 4500 m Höhe im Norden und bis 3500 m im Süden schirmen das obere Rhonetal gegen Zufuhr feuchter Luftmassen aus Süden oder Norden und gegen den überregionalen Wind ab. Allerdings erschweren sie auch die Anreise, die passfrei nur von Westen über den Genfer See und Martigny erfolgen kann. Von Norden, Osten oder Süden kommen nur der Grimsel, der Furka, der Nufenen oder der Simplonpass in Frage. Alternativ die Bahnverladungen Kandersteg-Goppenstein oder Realp-Oberwald. Unterkünfte sind in Fiesch und Umgebung ausreichend vorhanden, vor allem Ferienappartements und Chalets. Die Preise sind jedoch für Nicht-Schweizer, auch wegen des Wechselkurses, als "abgehoben" zu bezeichnen.

Im Gegensatz dazu ist die Bahnfahrt mit der Seilbahn zum Kühboden mit ca. 13 SFr. schon fast ein Schnäppchen. Die Jahreskarte für Lande- und Startplatzbenützung ist zusammen mit einer sehr informativen Broschüre für 25 SFr. zu haben.

Die beste Zeit für weite Flüge recht von Anfang Juni bis Ende August.

Anreise und Geländeinfo:

Le Fiesch se trouve dans la Rhône-vallée supérieure, le secteur germanophone du Wallis sur tout juste 1100 m hauteur de mer. Des montagnes à 4500 m hauteur dans le nord et à 3500 m dans le sud protègent la Rhône-vallée supérieure contre un approvisionnement de masses d'air humides du sud ou du nord et contre le vent suprarégional. Toutefois, ils compliquent aussi le voyage qui ne peut s'effectuer passfrei que d'un ouest par la mer genevoise et les Martigny. Du nord, d'un est ou du sud, seulement le Grimsel, le Furka, le Nufenen ou les Simplonpass entrent en ligne de compte. Alternativement les transports par train Kandersteg-Goppenstein ou Realp-Oberwald. Des logements sont dans les Fiesch et les environs suffisamment existant, surtout des appartements de vacances et des Chalets. Les prix sont cependant pour suisses, aussi à cause du cours du change, quand désigner "enlevé".

Contrairement le voyage des chemins de fer avec le téléphérique est au Kuehboden avec environ 13 SFr. déjà presque un Schnaeppchen. La carte annuelle pour utilisation de point de décollage et nationale est avec une brochure très informative pour 25 SFr. avoir.

Le meilleur temps pour des vols larges assez du début juin d'ici la fin août.

Das Dreieck:

* Datum: 09.08.1998
* Strecke: 123 km FAI-Dreieck
* Start- und Zielpunkt: Lax

Die Wendepunkte:

1. Galehütte östlich von Münster
2. Staumauer der Lonza im Lötschental
3. Gipfel des Weissmies (4023 m)

Der Pilot:

* Torsten Hahne: 32, Facharzt für Dermatologie und Allergologie aus München.
* Gleitschirm: Edel Atlas DHV Klasse 1-2
* Erfolge: Streckenflugmeister 91 und 95, Deutscher Meister 92, Europameister Mannschaft 92, Weltmeisterschaft Bronze Mannschaft 91, 2 Strecken-Weltrekorde 91

Le triangle :

* Datum: 09.08.1998
* Distance : 123 km FAI-Dreieck
* Objectif et de commencement : Lax

Les tournants :

1. Galehuette à l'est de la cathédrale
2ème barrage des Lonza dans le Loetschenta
3ème sommet mal (4023 m)


Le pilote :

* Torsten coq : 32, Médecin spécialiste des Dermatologie et des Allergologie de Munich.
* Écran coulissant : Avec noblesse atlas DHV classe 1-2
* Succès : Maître de vol de distance de 91 et 95, maîtres 92 allemands, Europe-maîtres équipage 92, tige de champion du monde bronze équipage de 91,.2 records du monde de distance 91


Der Flug:

An manchen Tagen ist in Fiesch bereits um 10 Uhr Sommerzeit ein thermiksicherer Start möglich. Die Thermik am 9.8.98 löst jedoch relativ spät aus. Erst um viertel nach 11 kann ich starten, ohne ein allzugroßes Risiko eines Landeplatzdirektfluges einzugehen. Das ist bedauerlich, denn so hänge ich in meinem Zeitplan bereits über eine Stunde zurück, als ich um halb 12 die Kirche in Lax als Startpunkt ins Visier meiner Kamera nehme.

Der Vorteil dieses Startpunktes auf einem Schenkel ist die Tatsache, daß ich später eventuell einen langen Endanflug einplanen kann, da Lax am Talgrund liegt. Nachteilig sind die längere Gesamtflugstrecke und der Umstand, daß ich nach meinem Ausflug in die Abwinde in Talmitte erst wieder mühselig ganz niedrig am Hang nach dem Einstieg in die Thermik suchen muß. In solchen Situationen wünscht man sich dann doch ein paar Gleitzahlen mehr.

Für den Deutschen Streckenflugpokal ist dieser Start auf Schenkel übrigens zulässig, für Rekordflüge nach FAI-Reglement muss der Startpunkt allerdings einer der Wendepunkte sein.

Zurück am Kühboden hängt der Himmel mittlerweile voller Konfetti. Durch dieses kunterbunte Durcheinander muß ich hindurch, um ausreichend Höhe vor dem Talsprung über den Fiescher Gletscher zu tanken. Ein Chaosforscher hätte in diesem bunten Treiben sicherlich seine gößte Freude. Mir persönlich gefällt das ganze jedoch weniger gut. Knapp oberhalb von mir kommen sich auch gleich zwei Konfetti so nahe, daß sie fortan den weiteren Flug miteinander verknäult und an zwei Rundkappen hängend direkt nach unten fortsetzen. Das Bündel aus Tuch und Mensch sinkt langsam drehend an mir vorbei. Die gemeinsame Landung auf einer Almwiese sieht vergleichsweise sanft aus, allerdings macht vorerst keiner der Piloten da unten Anstalten sich zu bewegen. Beunruhigt gebe ich sofort über Funk die Unfallmeldung weiter. Den Auftakt um heutigen XC habe ich mir anders vorgestellt. Mittlerweile rührt sich da unten aber etwas und die Gestalten krabbeln unter ihren Segeln hervor. Fünf Minuten später kommt auch die komplette Entwarnung über den Funk. Beide Piloten unverletzt. Meine Stimmung hellt sich auf, der größten Verkehrsdichte weiche ich aber großräumig aus und suche mir meinen Aufwind jetzt ganz allein an der Ostflanke des Eggishorns. Das Steigen ist hier zwar hier zwar eher mager, dafür muss ich den Bart aber mit keinem "Geisterflieger" teilen.

Über die Endmoräne des Fieschergletschers quere ich nach Bellwald um festzustellen, daß hier thermisch tote Hose angesagt ist. Also weiter mit halber Hanghöhe in die Südosthänge des oberen Rhonetales, auch oberes Goms genannt.
Dieser Teil des Wallis ist mit seinen sanften Wiesenkuppen und Almhängen geradezu lieblich und dem Pinzgau recht ähnlich. Also optimal geeignet für erste Streckenflugexkursionen. Doch der Flug im Goms gestaltet sich vorerst etwas zäh. Erst um kurz vor 13 Uhr erreiche ich meinen 1. Wendepunkt, die Galehütte östlich von Münster. Bis hierher konnte ich kaum über 2500 m MSL aufdrehen. Wenn das so weiter geht, kann ich den Tag vergessen, ganz abgesehen davon, daß mein 3. Wendepunkt der Gipfel des Weissmies ist. Und der ist 4023 m hoch.

Nachdem ich die Hütte im Kasten habe gehts aber endlich richtig los. Zusammen mit einem Segelflieger vom nahen Flugplatz in Münster kann ich einen vernünftigen Aufwind bis auf über 3000 m zentrieren. Die Basis steigt nun gemächlich an und ich versuche auf dem Rückweg Richtung Kühboden Zeit gut zu machen indem ich nur Bärte mit mehr als drei Meter Steigen ausdrehe.
Zurück am Kühboden bleiben die Kühe tatsächlich am Boden. Ich allerdings beinahe auch, denn die Thermik scheint hier erst einmal eine Pause einzulegen. Erst am Bettmerhorn kann ich wieder durchzentrieren. Sobald man den Grat überhöht wird der Blick auf den Aletschgletscher frei. Ein Postkartenmotiv. Allein für diesen Anblick lohnt es sich in Fiesch zu fliegen.

Weiterflug über Riederfurka und das Foggenhorn. Doch etwas ist hier faul. Ich vermisse den sonst üblichen kräftigen Gegenwind aus Westen. Ganz im Gegenteil. Ich werde geradezu nach Westen geschoben. Umdenken ist angesagt, denn die Bärte stehen ebenfalls versetzt.
Am Gärsthorn oberhalb von Brig treffe wieder auf den absoluten Hammer, allerdings knickt auch dieser Bart deutlich nach Westen ab. Ein untrügliches Zeichen dafür, daß der Simplonwind heute wieder seine Finger im Spiel hat. Am Gebidum, der entscheidenden Schlüsselstelle zum Einflug in das Saaser Tal wird also später wieder unangenehme Leethermik zu erwarten sein. Momentan hilft mir aber dieser Südostwind, denn er schiebt mich über das Wiwannihorn am Bietschhorn vorbei zu meinem 2. Wendepunkt, der Staumauer der Lonza im Lötschental.

Die Leethermik an der Nordwestflankedes Hohgleifen, einer fast senkrechten Geröllhalde, beisst sofort an. Die Basis ist mittlerweile auf fast 4000 m angestiegen. Die Höhe brauche ich jedoch auch um gegen den Südostwind am Schwarzhorn und Wiwannihorn über Gratöhe anzukommen.
Zurück am Gärsthorn ist der Hammerbart von vorhin nun richtig erwachsen geworden. Mit teilweise über 10 m/sec. integriertem Steigen schleudert er meinen Atlas und mich in die Höhe. Auf 4300 m fliege ich voll beschleunigt und mit eingeklappten Ohren zum Wolkenrand, der mittlerweile schon draußen über dem Rhonetal steht. Eine komfortable Höhe meine ich, um im Direktflug auf das Saaser Tal zuzusteuern. Aber falsch gedacht. Solche gewaltigen Aufwinde produzieren natürlich auch Abwinde Mit minutenlangem Sinkalarm bei 5 m/sec stürze ich wie ein Meteorit den Antennen bei Gebidum entgegen. Die Gleitleistung meines Atlas erfährt einen weiteren Dämpfer durch den Südostwind , der über den Simplonpass hinüber pfeift. Endlich kann ich knapp über Grathöhe in einen zaghaften Leebart eindrehen. Zusammen mit einem Drachen und zwei weiteren Gleitschirmen kämpfe ich mich wieder auf knapp 3000 m hinauf. Ich kann wieder kräftig durchatmen und entspannt meinen Blick über das Matterhorn und den Dom schweifen lassen.

Mit ausreichender und nervenschonender Höhe über der unlandbaren Schlucht zwischen Stalden und Saas Grund kann ich in das Saaser Tal einfliegen. Der erste Aufwind am Simelihorn empfängt mich mit großflächigen Achtmetersteigen. Der Bart ist so groß und kräftig, daß sogar ein Motorflieger neben mir mit abgestellten Motor in der Thermik seine Kreise zieht. Die Wolke über meinem Kopf ist aber dementsprechend riesig und ziemlich finster. Schließlich kann das Ungetüm die Feuchtigkeit nicht mehr halten und weint sich aus. Dch die Tränen erstarren in dieser Höhe. Als mir schließlich kirschkerngroße Hagelkörner ins Gesicht prasseln und ich die Varioanzeige freiwischen muss, ergreife ich auf 4100 m, mehr als 500 m unter der Basis, die Flucht. Bis auf die mittlere A-Leine ziehe ich den Atlas zusammen und trete voll in die Beschleuniger. Ein blauer Gleitschirm vor mir ist weniger vorsichtig und macht ein paar Kreise zuviel. Wie ein Sektkorken aus einer kräftig geschüttelten Flasche schießt er Richtung Basis und verschwindet in der dunkelgrauen Masse. Der hat Nerven. Die Wolke reicht bestimmt bis auf knapp 7000 Meter hinauf. Ziemlich kalt da oben und die Luft wird ihm wohl auch bald ausgehen.
Mit einem Nullschieber oder leichtem Steigen ereiche ich in der Zwischenzeit mit meinem Restschirm den Wolkenrand und habe sofort wieder blauen Himmel über mir. Der Wolkenkoloss spuckt auch den Himmelfahrtskandidaten mit seinem blauen Hochleister wieder aus. Glück gehabt würde ich sagen.

Am Lagginhorn kann man im Geradeausflug wieder Höhe machen, so daß ich beschließe den Weissmies direkt über den Gletscher anzufliegen. Doch der Versuch den Weissmies im Direktflug zu umrunden scheitert. An der nordwestseitigen Gletscherflanke an der ich letztes Jahr noch so schön aufsoaren konnte werde ich hinuntergespült. Direkt über die Aufstiegsspuren der Bergsteiger und den gurgelnden Gletscherspalten geht es zügig nach unten. Erst an der Südwestflanke des Trifthorns finde ich wieder aufsteigende Luftmassen. Den Monte Rosa zum Greifen nahe steige ich nahe an die 4600 m heran und kann beim Wendephoto über dem Weissmies den Blick auf das 4000 Meter tiefer liegende Domodossola in Oberitalien geniessen.

Den Grat von Weissmies und Lagginhorn reite ich bequem entlang bis ich am Ende des Grates wieder in einen gemütlichen Fünf-Meter-Bart einfahre. Von der Basis am Fletschhorn trete ich den 20-minütigen Gleitflug vorbei am Simplonpass nach Rosswald oberhalb von Brig an.
Normalerweise kann man dort durch den Talwind unterstützt mühelos aufsoaren. Doch durch den Ostwind versetzt steht hier heute nur ein zerissener Leebart, der nach oben hin jedoch immer stärker und ruhiger wird. Im Fieschertal herrscht inzwischen schon starker Abwind vom Gletscher hinab, also talauswärts. Einige Schirme stehen in Talmitte wie festgenagelt. Ich lasse nun aber nichts mehr anbrennen und drehe noch einmal genüßlich auf 3600 m auf. Der Endanflug nach Lax geht gegen den Wind nur langsam voran, doch ich habe nun alle Zeit der Welt, um die phantastische Landschaft der Gletscherriesen auf mich wirken zu lassen. Lauthals schmettere ich "Sailing home" in die kalte Luft. Hier oben kann mich glücklicherweise niemand hören. Die Endorphine nach so einem Streckenflug versetzen einen geradezu in einen Glücksrausch. Diese Droge ist für kein Geld der Welt zu kaufen. Man muß sie sich mühsam verdienen und es gibt sie nur an wenigen Tagen im Jahr.

Beim Abspiralen über dem Landeplatz habe ich das Gefühl in eine Sauna zu springen. Die Lufttemperatur beträgt hier über 30 ° Celsius. Nach mehreren Stunden an der Nullgradgrenze in Höhen um die 4000 Meter ein echter Hitzeschock.
Der Empfang am Landeplatz mit Eistee und einem Happen zu Essen durch meine Frau Ina und Tim meinen 3 Monate alten Streckenflugnachwuchs ist entsprechend freudig. So gut drauf erleben mich die beiden auch nicht jeden Tag.

Nach 123 Klometern auf Dreieckskurs in extremen hochalpinen Bedingungen und Steigwerten bis über 10 m/sec ohne einen einzigen Klapper und ständig dem beruhigenden Gefühl alles sicher im Griff zuhaben hat mich Mutter Erde wieder. So entspannt bin ich auf einem Hochleister noch nie auf Strecke gewesen. Das war Fun total. Zur Nachahmung dringend empfohlen.

Torsten Hahne

Le vol :


Quelques jours dans les Fiesch déjà autour de 10 heures, le temps d'été est thermiksicherer un commencement possible. Le thermik le 9.8.98 déclenche toutefois relativement tard. Seulement pour je peux commencer quart après 11, sans accepter un risque allzugrosses d'un vol direct de terrain d'atterrissage. C'est malheureux, car alors j'accroche déjà sur une heure de retour dans mon calendrier, quand je prends à ma caméra autour des demi 12 églises dans les Lax comme point de départ à la viseur.

L'avantage de ce point de départ sur une cuisse est le fait que je peux prendre plus tard éventuellement une longue approche finale, puisque le Lax se trouve rond. Le plus long cours total et la circonstance sont préjudiciables que je dois seulement chercher encore muehselig tout à fait faiblement après mon excursion dans les abwinde dans un milieu de vallée à la pente après l'entrée dans le thermik. Dans de telles situations, on se souhaite alors quand même plus quelques nombres coulissants.

Pour la coupe de vol de distance allemande, ce commencement sur des cuisses est d'ailleurs admis, pour des vols d'enregistrement après des FAI-Reglement doit toutefois le point de départ un des tournants être.

De retour au Kuehboden le ciel accroche Konfetti plein entretemps. Par ce désordre kunterbunte, je dois , pour réapprovisionner suffisamment une hauteur devant le saut de vallée sur les Fiescher glaciers en combustible . Un chercheur de chaos aurait sûrement sa joie goesste dans cet entraîner de couleur vive. L'entier me plaît personnellement toutefois moins bien. Au-dessus il s'approche tout juste aussi comme deux Konfetti me de telle sorte qu'ils continuent dorénavant ensemble directement vers le bas l'autre vol verknaeult et accrochant à deux chapeaux ronds. Le paquet du chiffon et de l'homme descend lentement tournant à moi au delà. L'atterrissage commun sur un pré de pâturage paraît comparativement doux, aucun des pilotes ne fait toutefois instituts se déplacer pour l'instant là vers le bas. Inquiet je transmets immédiatement la communication d'accident sur une radio. Le prélude autour je me suis présenté différemment à XC actuels. Entretemps, quelque chose et les formes s'agitent rampent là vers le bas toutefois sous ses voiles. Cinq minutes plus tard le signal de fin d'alerte complet vient également sur la radio. Les deux pilotes intact. Mon ambiance s'éclaire toutefois, la plus grande densité du trafic doux moi spacieusement et se cherche veut dire maintenant tout à fait seulement un aufwind au flanc de l'est du Eggishorns. augmenter est ici certes ici certes plutôt maigre, mais je ne dois pas toutefois diviser la barbe avec d'"aviateur rôder".

Sur les Endmoraene du Fieschergletschers, je traverse après Bell-forêt constater plus de qu'ici, le pantalon mort est annoncé thermique. appelé ainsi plus encore avec une demi hauteur en pente dans les pentes du sud-est de la Rhône-vallée supérieure, aussi Goms supérieur. Cette partie du Wallis est semblable avec ses sommets de pré et pentes de pâturage doux presque beau et au Pinzgau assez. Ainsi de façon optimale de manière appropriée pour des premières excursions de vol de distance. Mais le vol dans le Goms s'organise pour l'instant légèrement durement. Plus de peu avant 13 heures j'atteins seulement veux dire 1. Tournant, le Galehuette à l'est des cathédrales. Jusqu'à ce qu'ici je puisse à peine désentortiller plus de 2500 m MSL. Si cela va si plus encore, je peux oublier le jour, tout à fait outre que mon 3. Le tournant des sommets est mauvais. Et celui mesure 4023 m de haut.


Après que j'ai toutefois enfin correctement détaché l'usine sidérurgique dans la boîte gehts. En collaboration avec un aviateur de voile de l'aérodrome étroit dans les cathédrales, je peux centrer un aufwind raisonnable jusqu'à plus de 3000 m. La base augmente et moi essaye maintenant gemaechlich sur le retour une direction bonne à des Kuehboden temps de rendre en n'éteignant que des barbes avec plus de trois mètres sentiers. De retour au Kuehboden les vaches restent en effet au sol. Moi toutefois presque aussi, car le thermik semble insérer ici seulement une fois une coupure. Ce n'est qu'au Bettmerhorn que je peux centrer encore. Aussitôt qu'on est surélevé la bavure la vue sur le Aletschgletscher librement. Un motif de carte postale. Rien que, pour cette vue il vaut la peine de se voler dans les Fiesch .

Vol large sur des Riederfurka et le Foggenhorn. Mais quelque chose est ici putréfié. Je manque le gegenwind fort d'ailleurs habituel d'un ouest. Tout à fait au contraire. Je suis poussé presque vers ouest. orienter autrement sa pensée on annonce, car les barbes sont également déplacé. Le Brig se heurte à nouveau au marteau absolu à la corne de fermentation au-dessus, toutefois cette barbe plie également clairement après ouest. Un signe infaillible de ce que le Simplonwind a aujourd'hui à nouveau ses doigts dans le jeu. Au Gebidum, du poste clé crucial au vol un dans le Saaser, il faudra ainsi plus tard à nouveau des Leethermik déagréables attendre la vallée. Ce vent du sud-est m'aide momentanément toutefois, il pousse au delà car moi sur le Wiwannihorn au Bietschhorn mon à 2. Tournant, du barrage des Lonza dans le Loetschental.

Le Leethermik à celui du Hohgleifen, d'un terril de galet presque vertical, mord immédiatement dessus. La base a augmenté entretemps sur presque 4000 m. La hauteur j'ai besoin toutefois d'arriver aussi plus de contre le vent du sud-est à la corne et à des Wiwannihorn sur des Gratoehe. De retour à la corne de fermentation la barbe de marteau à l'instant maintenant est devenue correctement adulte. Sur 10 m/sec. augmenter intégré il me lance en partie mes atlas et dans la hauteur. Sur 4300 m, je vole pleinement accéléré et avec des oreilles pliées au bord de nuage qui est entretemps déjà dehors sur la Rhône-vallée. Je, veux dire une hauteur confortable autour du dans vol direct sur le Saaser vallée zuzusteuern. Mais pensé faux. De tels aufwinde énormes produisent aussi des abwinde avec une alarme de descente de plusieurs minutes avec 5 m/sec tombent naturellement contre moi comme un Meteorit les antennes avec des Gebidum. La performance coulissante de mon atlas apprend un autre amortisseur par le vent du sud-est qui siffle là sur les Simplonpass. Enfin, je peux pivoter tout juste sur une hauteur de bavure dans un Leebart craintif. Avec un Drachen et deux autres écrans coulissants, je me combats encore sur tout juste 3000 m . Je peux respirer à fond encore fortement et de façon décontractée veux dire vue sur la corne mate et la cathédrale être courbé pouvoir.

Hauteur suffisante et nervenschonender sur le schlucht unlandbaren entre Stalden et Saas raison je peux voler la vallée dans le Saaser. Le premier aufwind reçoit au Simelihorn moi avec de larges pâtes de mètre de précaution. La barbe est si grande et forte que même un aviateur de moteur à côté de moi tire ses milieux avec le moteur arrêter dans le thermik. Le nuage sur ma tête est toutefois conformément à cela énormément et assez plus finster. Enfin, le Ungetuem ne peut plus tenir l'humidité et se pleure . Des Dch les déchirures se solidifient dans cette hauteur. Quand moi enfin des pointes de centrage de salut kirschkerngrosse prasseln dans au visage et quand je dois les Varioanzeige freiwischen, je saisis l'évasion sur 4100 m, plus de 500 m sous la base. Jusqu'aux A-Leine moyens je tire l'atlas et fais un pas pleinement dans les accélérateurs. Un écran coulissant bleu avant moi est moins prudent et fait quelques milieux un trop de. Comme un liège de vin champagnisé d'une bouteille secouée fortement il tire une direction base et disparaît dans la masse dunkelgrauen. Celui a des nerfs. Le nuage va certain jusqu'à tout juste 7000 mètres . Assez froidement là en haut et l'air se épuisera probablement bientôt lui. Avec un tiroir zéro ou augmenter facile ereiche j'entre-temps avec mon écran de reste le bord de nuage et ai immédiatement à nouveau le ciel bleu sur moi. crache aussi encore le Wolkenkoloss le candidat de voyage de ciel avec son Hochleister bleu. Chance je serais eu à dire.

Au Lagginhorn, on peut faire encore une hauteur dans l'excursion de ligne droite, de sorte que je décide cela sur le glacier m'approcher mal directement. Mais la tentative cela dans le vol direct échoue contourner mal. Au flanc de glacier nordwestseitigen auquel je dernière année pouvais aufsoaren deviens encore si beau moi hinuntergespuelt. Sur les traces de montée des canalisations verticales de montagne et les crevasses gurgelnden vont directement rapidement vers le bas. Ce n'est qu'au flanc de l'ouest de l'ouest du Trifthorns que je trouve des masses d'air montant encore. J'étroits à ceux 4600 m aux Monte Rosa visant saisir augmente étroitement et peux jouir mal avec la photo de tour sur cela de la vue sur se trouvant de 4000 mètres de profondeur le Domodossola en Italie du Nord.

Je monte la bavure mauvais et des Lagginhorn le long moi à la fin de la bavure dans une barbe de mètre de cinq intime entre agréablement à nouveau. De la base au Fletschhorn, je commence au delà le 20-minuetigen vol plané au Simplonpass après des Rosswald au-dessus Brig. Normalement on peut aufsoaren là par le vent de vallée soutenu facilement. Mais par le vent d'Est ne déplace est ici aujourd'hui que Leebart zerissener qui devient vers le haut vers toutefois de plus en plus fort et plus calme. Dans le Fieschertal, entre-temps le abwind déjà fort du glacier règne en bas, donc talauswaerts. Quelques écrans sont dans un milieu de vallée comme festgenagelt. Je laisse maintenant toutefois rien de plus anbrennen et désentortille encore genuesslich sur 3600 m. L'approche finale après des Lax ne progresse que lentement contre le vent, mais j'ai maintenant tout le temps du monde, pour faire agir le paysage fantastique des géants de glacier sur moi. Col de son moi "Sailing" schmettere "home" dans l'air froid. Ici, en haut personne ne peut m'entendre heureusement. Les Endorphine après si un vol de distance déplacent presque des dans une intoxication de chance. Cette drogue ne doit pas être achetée au monde pour d'argent . On ne doit la gagner péniblement et lui se donne la que peu de jours par an.


Avec le Abspiralen sur le terrain d'atterrissage, j'ai à sauter le sentiment dans un sauna . La température de l'air s'élève ici à plus de 30 ° Celsius. Après plusieurs heures à la frontière de degré zéro dans les hauteurs autour des 4000 mètres un véritable choc de chaleur. L'accueil au terrain d'atterrissage le thé de glace et un Happen Essen ma Mme Ina et Tim veulent dire trop 3 mois nouvelle génération de vol de distance âgée sont en conséquence joyeux. Sur ceux ne m'éprouvent si bien les deux pas non plus chaque jour.

Après 123 Klometern sur le cours de triangle dans les conditions et valeurs ascendantes hochalpinen extrêmes à plus de 10 m/sec sans un seul cliqueter et constamment le sentiment calmant de tout dans la prise zuhaben m'a sûrement à nouveau mère terre. J'ai été jamais si décontracté sur un Hochleister sur la distance. C'était des Fun totaux. D'urgence recommandé à l'imitation.

Torsten Hahne

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